Collier

Collier et bijoux éco-responsables du Brésil

Nos colliers en or végétal célèbrent la rencontre entre la nature et l’élégance. Fabriqués à la main en or végétal, le fameux Capim Dourado du Jalapao, ces bijoux créateurs éco-responsables allient beauté, durabilité et éthique. Leur éclat doré naturel capte la lumière et sublime chaque tenue, pour un effet à la fois raffiné et authentique.

Symbole de féminité et d’expression personnelle, le collier est un incontournable de la mode. Nos créations faites main, issues du commerce équitable, se déclinent dans des styles uniques : du choker délicat au plastron audacieux, en passant par des ras-du-cou ornés de pierres naturelles comme le quartz, l’œil du tigre, la pierre du soleil ou encore l’émeraude et l’améthyste. Chaque bijou reflète la richesse du Brésil et la créativité de ses artisans.

Nos colliers en or végétal éco-responsables permettent à chaque femme d’affirmer son style et sa singularité. Que ce soit pour illuminer un décolleté, souligner une tenue de soirée ou apporter une touche chic au quotidien, ces bijoux artisanaux sont pensés pour sublimer la beauté naturelle. Offrir ou s’offrir un collier du Brésil, c’est aussi participer à la préservation d’un savoir-faire ancestral et à la protection de la nature.

Le Capim Dourado, l’or végétal du Brésil, est récolté de manière durable entre septembre et novembre, lorsque la plante atteint sa maturité. Les artisans locaux perpétuent un geste séculaire transmis par les peuples indigènes, garantissant un cycle de vie respectueux de l’environnement et de la biodiversité.

Retrouvez toute la magie de l’artisanat brésilien dans nos collections de bijoux faits main : bagues, bracelets, boucles d’oreille, parures, accessoires cheveux et nos boîtes à bijoux originales. Chaque création est une ode à la nature, à la féminité et à la beauté éthique.

La culture du Capim Dourado est très réglementée : la récolte se fait par des artisans inscrits dans une association, uniquement du 20 Septembre au 20 Novembre, lorsque la plante est à maturité. Les fleurs sont laissées sur place pour permettre le renouvellement naturel du cycle de vie de la plante. Autrefois travaillée par les indigènes de l’ethnie Xerente, ceux-ci ont transmis leur savoir-faire, dans les années 1930, aux familles de la ville de Mumbuca.